Cet article traite de la relation entre Louis Anquetin et Vincent van Gogh qui se sont rencontrés à l’atelier Cormon. Il n’y eut pas d’amitié téelle entre les deux artistes, mais une relation morale, mystique même, c'est-à-dire que l’art d’Anquetin eut une répercussion importante sur l’art de van Gogh. Ce dernier a été sensible à la tension, à l’énergie qu’Anquetin mettait dans son japonisme, qui fut appelé le cloisonnisme. La relation des artistes est connue, mais des élément nouveaux ont pu être révéler, les dates de la présence de Van Gogh à l’atelier Cormon, l’exécution de deux de ses tableaux à à l’atelier Cormon, quelques données biographique, et que le tableaux La salle de danse à Arles serait extrait d’une peinture d’Anquetin, L’Elysée Montmartre.

Le nom de la famille Wenz est indissociable de la bigraphie d’Henri de Toulouse-Lautrec. Les deux artistes s’étaitent rencontrés à l’atelier Cormon et Lautrec fit le portrait de Frédéric Wenz en 1886 (Houston). Deux portraits de Jeanne Wenz sont connus, mais ici huit autres ont pu être identifier, ce qui change le statut de cette femme dans la vie de Lautrec, elle fut son premier modèle (1886/1887), quand il s’installa « chez lui », rue Caulaincourt.

2004 (parution 2005) : Bulletin de la société de l’Histoire de l’Art français
pp 303/325

Grâce à un compte rendu de visite du musée Le Vergeur de 1932, il a été possible de retrouver dans les réserves un plâtre oublié de la tête de l’Ange au sourire, réalisé avant 1907, date de son entrée dans les collections du musée. La tête originale de l’ange a été fracassée en plus de vingt morceaux lors de l’incendie du 21 septembre 1914 et tous les morceaux de purent être retrouvés, ainsi la reconstitution réalisés en 1923 est sans doute moins proche de l’original que cette empreinte réalisé à même la tête par le sculpteur Bartozzi.

1998 (parution 1999) : Bulletin de la société de l’histoire de l’art français
pp 309/324

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Cet article est la première synthèse sur cet atelier, cité très souvent dans les ouvrages, mais sans beaucoup de précision. A l’aide d’archives et de documents historiques, le lieu, l’ambiance. une liste de 40 élèves, permettent de mieux cerner ce lieu de formation éssentiel dans l’émergence des avant-garde, Lautrec, Van Gogh, Emile Bernard, Charles Laval, etc.

1996 - (parution 1997) - Bulletin de la société de l’histoire de l’art français
Paru dans : Bulletin de la société de l’histoire de l’art français pp 171/184
Article : « L’atelier Cormon (1886-1887) »

Cet article évoque la trajectoire de celui qui avec Dubourg peut porter le titre d’encadreur des impressionnistes. Une photographie de son magasin, 31 rue Fontaine, ses dates, des éléments biographiques, les traces archivistiques laissés par ses clients de renom, Redon, Gauguin, Degas, Lautrec, Pissarro, Anquetin, donnent vie à ce personnage dynamique et inventif.

1995 - (parution 1996) - Bulletin de la société de l’histoire de l’art français
Paru dans : Bulletin de la société de l’histoire de l’art français pp 239/247

1992 – (parution 1993) - Bulletin de la société d’histoire de l’art français
pp 199/204
Article : « Paul Tampier (1859-1941), Elève à l’atelier Cormon »

Cet article permet de garder le souvenir d’un personnage atypique, qui a compté dans le milieu des peintres de l’atelier Cormon, mais qu’on ne connaissait que par son nom. Son prénom, ses dates, des éléments biographiques, son identification iconographique, sont les apports essentiels de cet article.